Le roi était malade un peu ; Madame la marquise de Pompadour avait « ses vapeurs », cette migraine du XVIIIe siècle dont on s’est tant moqué et que nous avons remplacée par la névralgie, les médecins, pour leur commerce, étant obligés, comme les tailleurs, de trouver sans cesse des noms nouveaux aux vieilles choses. Sans cela, à quoi leur servirait le grec de cuisine qui les gonfle ? Monsieur le maréchal de Richelieu, toujours jeune, malgré ses 62 ans bien sonnés, se trouvait incommodé légèrement d’un rhume de cerveau, gagné l’année précédente dans le Hanovre, lors de la signature du traité de Kloster-Seven, qui sauva l’Angleterre, rétablit les affaires de la Prusse et commença la ruine de la France. Quel joli homme c’était, ce maréchal ! Et que d’esprit il avait ! Monsieur de Voltaire, qui ne l’aimait pas tous les jours, disait de lui : « C’est de la quintessence de Français ! » Bon Monsieur de Voltaire ! Il ne flattait jamais que nos ennemis.

Le dernier chevalier

Mené à vive allure avec tous les rebondissements propres au feuilleton et portant à la fois l’empreinte des romans noirs et des romans d’intrigues, Le chevalier Ténèbre conte les aventures de deux êtres énigmatiques, les frères Ténèbre, séducteurs et voleurs, qui, partis de leur Hongrie natale, traversent toute l’Europe, usant de mille et un travestissements et de masques de toute sorte, pour se livrer à leurs méfaits et ruiner des familles entières.

Le chevalier Ténèbre

Le Bossu est un roman de cape et d’épée de Paul Féval, initialement publié en 1857. L’action, répartie en six parties et soixante-deux chapitres, se déroule en deux temps bien distincts, en 1699 et 1717, principalement en France et notamment à Paris, et met en scène l’histoire du Chevalier Henri de Lagardère. Outre divers personnages de fiction, on croise dans le roman plusieurs personnages historiques, tels que le Régent Philippe d’Orléans, l’abbé Dubois, le banquier et économiste John Law et même le tsar Pierre le Grand, dont certains se voient, en outre, mêlés à des péripéties romanesques totalement inventées. |Wikipédia| Extrait | I La vallée de Louron Il y avait autrefois une ville en ce lieu, la cité de Lorre, avec des temples païens, des amphithéâtres et un capitole. Maintenant, c’est un val désert où la charrue paresseuse du cultivateur gascon semble avoir peur d’émousser son fer contre le marbre des colonnes enfouies. La montagne est tout près. La haute chaîne des Pyrénées déchire juste en face de vous ses neigeux horizons, et montre le ciel bleu du pays espagnol à travers la coupure profonde qui sert de chemin aux contrebandiers de Vénasque. À quelques lieues de là, Paris tousse, danse, ricane et rêve qu’il guérit son incurable bronchite aux sources de Bagnères-de-Luchon ; un peu plus loin, de l’autre côté, un autre Paris, Paris rhumatisant, croit laisser ses sciatiques au fond des sulfureuses piscines de Baréges-les-Bains. Éternellement, la foi sauvera Paris, malgré le fer, la magnésie ou le soufre ! C’est la vallée de Louron, entre la vallée d’Aure et la vallée de Barousse, la moins connue peut-être des touristes effrénés qui viennent chaque année découvrir ces sauvages contrées ; c’est la vallée de Louron avec ses oasis fleuries, ses torrents prodigieux, ses roches fantastiques et sa rivière, sa brune Clarabide, sombre cristal qui se meut entre deux rives escarpées, avec ses forêts étranges et son vieux château vaniteux, fanfaron, invraisemblable comme un poème de chevalerie...|

Le Bossu

Dans 'L'homme de fer', Paul Féval dresse un portrait saisissant de la société française du XIXe siècle, mêlant aventures fantastiques et réflexions sociales. Ce roman, publié en 1850, se distingue par son style vivant et coloré, caractéristique des récits feuilletonistes de l'époque. Féval dévoile une intrigue complexe où le héros, cet 'homme de fer', incarne à la fois la force et la détermination face aux injustices. L'œuvre s'inscrit dans le courant du roman populaire, mêlant aventures, drame et éléments mystiques, tout en privilégiant la psychologie des personnages et un réalisme poignant, qui interpellent le lecteur sur les enjeux sociaux de son temps. Paul Féval, né en 1816, est un auteur prolifique qui a largement influencé la littérature populaire française. Sa propre expérience de vie, marquée par des luttes sociales et son intérêt pour le mystère et l'aventure, l'a conduit à écrire 'L'homme de fer'. Féval s'est également passionné pour la marionnette et le théâtre populaire, ce qui se reflète dans la vivacité de ses dialogues et son sens de l'intrigue. Sa carrière d'écrivain, influencée par les idées romantiques et la critique sociale, fait de lui un auteur essentiel de son époque. ' L'homme de fer' est recommandé aux lecteurs avides de romans d'aventure riches en rebondissements et mêlant introspection et critique sociale. À travers son écriture fluide et son exploration des valeurs humaines, Féval parvient à captiver et à provoquer la réflexion. Plongez dans cet univers fascinant où les enjeux moraux se heurtent à des aventures trépidantes, et laissez-vous emporter par le récit vibrant de cet homme d'exception.

L'homme de fer

Le dernier chevalier, œuvre emblématique de Paul Féval, se déroule dans un contexte médiéval riche en intrigues et en chevalerie. À travers un style narratif vivant et brillant, Féval explore les thèmes de l'honneur, de la trahison et de la quête identitaire. Le récit met en lumière les épreuves d'un héros désireux de maintenir la gloire des valeurs chevaleresques dans un monde en mutation, marqué par des tensions sociales et politiques. La prose févale allie une profondeur psychologique à une attention minutieuse pour les détails historiques, ce qui lui confère une place singulière dans la littérature du XIXe siècle, période où l'intérêt pour le Moyen Âge refait surface. Paul Féval, écrivain prolifique et pionnier du roman populaire, était influencé par les traditions médiévales, ainsi que par un désir d'évasion face aux préoccupations contemporaines du surréalisme et de l'industrialisation. Sa formation littéraire, marquée par son engagement envers le roman d'aventure, a enrichi sa capacité à tisser des récits captivants qui interrogent la moralité et l'héroïsme. En faisant appel à un imaginaire collectif cher à son époque, Féval vise à ressusciter des figures idéalisées tout en mettant en évidence les contradictions de son temps. Je recommande vivement Le dernier chevalier à toute personne fascinée par la quête de sens et l'héroïsme dans le contexte délicat de l'époque médiévale. Ce roman, à la fois divertissant et réfléchi, plaira non seulement aux amateurs de littérature historique, mais également à ceux qui cherchent à comprendre les dynamiques de l'âme humaine face aux défis de la société. La plume de Féval, habile et imaginative, incarne la tension entre l'idéal et la réalité, offrant au lecteur une expérience enrichissante et inoubliable.

Dans "Le dernier vivant", Paul Féval nous plonge dans un récit captivant qui mêle fantastique et réflexion sur l'humanité et la société. À travers le personnage principal, nous découvrons un monde où les vivants côtoient les souvenirs des défunts, dans une exploration riche en émotions et en symbolisme. Le style de Féval est marqué par une prose fluide et évocatrice, imbriquant des éléments de mélodrame et de mystère tout en étant ancré dans le contexte littéraire du XIXe siècle, où la littérature populaire s'émancipe et fait écho aux angoisses de son temps. Ce roman, tout en étant une œuvre de divertissement, questionne la condition humaine et l'ultime désir de survie que chaque individu nourrit, même au-delà de la mort. Paul Féval, écrivain prolifique, est un fervent défenseur de la littérature populaire. Son expérience personnelle, marquée par de nombreuses épreuves, ainsi que son intérêt pour le fantastique et le merveilleux, nourrissent son œuvre. "Le dernier vivant" s'inscrit dans sa démarche d'exploration des thèmes de la mort, de la mémoire et de la lutte entre le bien et le mal, des préoccupations profondes qui traversent son multiple corpus littéraire. Je recommande vivement "Le dernier vivant" à quiconque s'intéresse aux récits d'épouvante et de mystère qui suscitent la réflexion. La plume de Féval, tout en étant accessible, interpelle et invite à une introspection sur les débats éternels de l'humanité. À travers ce roman, le lecteur sera transporté dans un univers fascinant où chaque page dévoile une nouvelle facette de la vie et de la mort, faisant de cette lecture une expérience inoubliable.

Le dernier vivant

Dans 'Les parvenus', Paul Féval nous plonge dans une analyse sociologique aigüe du Paris du XIXe siècle, explorant les méandres de la bourgeoisie montante. À travers un style incisif et une narration vivante, il dresse le portrait de personnages en quête de reconnaissance sociale, oscillant entre ambition et immoralité. Ce roman, inscrit dans le mouvement réaliste, témoigne d'une époque où les valeurs fluctuantes de la société étaient fortement remises en question. L'écriture de Féval se caractérise par une vivacité de dialogue et une richesse descriptive, permettant au lecteur de naviguer dans un univers complexe de rapports humains et d'intrigues sociales. Paul Féval, fils d'un modeste artisan, a été marqué par les inégalités sociales de son époque, ce qui l'a poussé à explorer les thèmes de l'ascension sociale et de la corruption morale. Écrivain prolifique et engagé, il a puisé dans son expérience personnelle et sociale pour offrir un reflet poignant de la nostalgie d'un monde en mutation. Influencé par le romantisme tout en empruntant aux réalistes, Féval a su créer des œuvres à la fois divertissantes et critiques. 'Les parvenus' est une lecture incontournable pour ceux qui souhaitent comprendre les dynamiques de la société française du XIXe siècle. Avec son éclairage unique sur la lutte pour le statut social et les conséquences de cette quête, ce livre résonne d'une manière forte et intemporelle. Je recommande cette œuvre tant pour sa richesse narrative que pour son analyse pertinente des motivations humaines et des tensions sociales.

Les parvenus

La fabrique de crimes, œuvre phare de Paul Féval, se déroule dans un cadre où la criminalité et la morale se côtoient, soulignant l'atmosphère noir et labyrinthique du Paris du XIXe siècle. À travers une écriture riche en détails et un style narratif vivant, Féval plonge le lecteur dans les méandres de la psyché humaine, où les motivations des personnages se révèlent lentement. Ce roman s'inscrit dans le courant du roman populaire français, émergeant à une époque où la fascination pour le crime et les mystères noirs captivaient les lecteurs. Il aborde des thèmes de justice et de vengeance tout en explorant les stratagèmes complexes de la société bourgeoise, avec une touche d'ironie sociale. Paul Féval, écrivain prolifique et pionnier du roman-feuilleton, a fait l'expérience de la vie urbaine parisienne qui l'a profondément inspiré. Confronté à la misère et aux injustices de son époque, il présente un regard critique sur la société, anticipant des réalités qui donneraient naissance à un imaginaire collectif cyclique, marquant ainsi la littérature populaire. L'auteur, fils d'un noble déchu, utilise sa plume pour dénoncer les problèmes sociaux tout en absorbant les influences de balzac et de Hugo. Je recommande vivement La fabrique de crimes aux amateurs de littérature fascinante, aux passionnés de récits criminels et à ceux qui souhaitent explorer les rouages d'une époque où le suspense et la sociologie se mêlent. Féval, par son habileté à construire des intrigues tordues et des personnages complexes, offre une lecture captivante et enrichissante qui interroge la nature humaine et la moralité.

La fabrique de crimes

Dans 'Maman Léo', Paul Féval nous plonge dans un univers riche en intrigues et en émotions, où la vie des personnages est marquée par des luttes sociales et des dilemmes moraux. Ce roman est écrit dans un style élégant et vivant, caractéristique du romantisme français du XIXe siècle, tout en intégrant des éléments de réalisme qui rendent les personnages profondément humains. Féval explore les thèmes de la maternité, de l'amour et du sacrifice à travers le prisme d'un protagoniste tragique, Maman Léo, dont la force et la résilience face à l'adversité la rendent mémorable. Le contexte littéraire de l'époque, où la littérature cherche à capturer les vérités sociales, explique l'ampleur des conflits internes et externes que subissent les personnages. Paul Féval, écrivain français prolifique, a toujours été intéressé par les récits populaires et les histoires marginalisées. Ses expériences personnelles, ainsi que son vif intérêt pour les problématiques sociales de son temps, l'ont poussé à écrire des œuvres qui résonnent avec la vie du peuple. 'Maman Léo' reflète son engagement pour les récits touchants qui mettent en lumière les luttes des classes inférieures, en utilisant une prose accessible mais évocatrice. Je recommande vivement 'Maman Léo' à tous ceux qui s'intéressent à la dynamique humaine et aux récits de résilience. Cette œuvre captivante non seulement séduit par son intrigue touchante, mais elle pousse également à réfléchir sur la condition humaine et les choix que nous faisons. La profondeur des personnages et la richesse du style de Féval en font une lecture incontournable pour les amateurs de littérature du XIXe siècle.

Maman Léo

L'anthologie "Madame Pistache" se distingue par sa richesse thématique et sa diversité stylistique, inscrivant ses récits dans le cadre des récits populaires et aventuresques du 19e siècle. ALLiant comédie, drame et critique sociale, la collection présente une variété d'œuvres qui captivent par leur dynamisme et leurs perspectives uniques. Parmi les pièces remarquables, certaines égratignent les conventions sociales tandis que d'autres explorent les complexités de la nature humaine. La diversité des styles, allant de la prose percutante aux dialogues pétillants, offre un panorama fascinant de la littérature de son temps. Les rédacteurs Paul Féval et Alphonse Balleydier sont des figures prééminentes de la littérature populaire française, chacun apportant un éclairage distinct au thème central de l'anthologie. Féval, célèbre pour ses romans de cape et d'épée, enrichit la collection par son flair narratif et ses intrigues palpitantes, tandis que Balleydier, connu pour ses chroniques historiques, imprègne ses contributions d'un sens aigu du contexte social et politique. Ensemble, ils retranscrivent l'effervescence du XIXe siècle, une époque où les récits de fiction reflètent et interrogent les réalités contemporaines. "Madame Pistache" offre aux lecteurs une opportunité rare de se plonger dans une mosaïque de récits qui défient et divertissent, tout en suscitant la réflexion. Cette anthologie est un déclencheur de dialogue entre les différentes œuvres des auteurs qui la composent, incarnant l'essence même de la diversité littéraire. Que l'on soit un amateur de l'histoire littéraire ou simplement curieux de découvrir des perspectives variées, ce recueil est une mine d'or, tant pour son contenu éducatif que pour sa capacité à transporter ses lecteurs à une autre époque, riche en aventures et en questionnements moraux.

Madame Pistache

Dans "Le loup blanc", Paul Féval nous plonge dans un roman d'aventure mêlant fantastique et mystère, caractéristique de son œuvre et de son époque. L'intrigue s'articule autour de la légende des loups-garous et explore les thèmes du courage et de l'honneur, tout en illustrant la dualité entre le bien et le mal. Le style littéraire de Féval, marqué par une prose vive et des descriptions évocatrices, entraîne le lecteur à travers des paysages gothiques et des échos d'une France rurale en proie à la superstition. Écrit au XIXe siècle, ce roman s'inscrit dans un contexte littéraire romantique où la fascination pour l'individu héroïque et les mystères du folklore prédominent. Paul Féval, romancier prolifique, s'est souvent inspiré des croyances populaires, des légendes et des récits historiques. Sa propre enfance, bercée par les contes et les traditions orales, a largement influencé son imagination et son écriture. Féval a voulu rendre hommage à ces récits, tout en explorant les peurs et les fascinantes ambiguïtés de l'esprit humain, ce qui a fait de lui une figure incontournable du roman populaire français. Je recommande vivement "Le loup blanc" à tout amateur de littérature de genre qui souhaite pénétrer dans un univers où les réalismes cruels s'entrelacent avec le fantastique. Ce livre, par son ambiance et son intrigue, saura captiver les lecteurs curieux de découvrir les dessous des légendes tout en s'interrogeant sur la nature humaine.

Le loup blanc

Dans 'La fée des grèves', Paul Féval déploie un récit enchanteur et fantastique qui s'inscrit dans le courant du romantisme français du XIXe siècle. L'œuvre narre les aventures d'Ernest, un jeune homme confronté aux mystères d'un monde féerique, où l'imaginaire et le merveilleux se mêlent à la réalité. Le style de Féval, caractérisé par sa fluidité et son sens du drame, crée une atmosphère envoûtante, enrichie par des descriptions évocatrices des paysages bretons et des intrigues qui révèlent les tensions entre le naturel et le surnaturel, reflet des préoccupations sociales de son temps. Paul Féval, auteur prolifique souvent reconnu pour ses romans-feuilletons, véhiculait des réflexions sur la société de son époque, influencées par son expérience personnelle et ses croyances spirituelles. Les thèmes de la mystique et du fantastique dans son œuvre sont probablement imprégnés de sa fascination pour les légendes locales et les traditions folkloriques, qui lui ont permis d'explorer des dimensions cachées de l'existence humaine, tout en capturant l'imaginaire collectif du XIXe siècle. Je recommande vivement 'La fée des grèves' aux lecteurs en quête d'une immersion dans l'univers enchanté du romantisme français. Ce roman, à travers ses personnages attachants et ses péripéties captivantes, offre un voyage fascinant au sein des croyances populaires et explore les luttes internes de l'âme humaine. C'est une œuvre qui mérite d'être redécouverte pour sa richesse narrative et son esthétique poétique.

La fée des grèves

Dans "Une histoire de revenants", Paul Féval nous plonge dans un récit aux frontières du fantastique et du réel, mêlant mystère et horreur. À travers une narration fluide et vivante, Féval explore les thèmes de la vengeance et de l'au-delà, offrant des descriptions évocatrices qui ouvrent la voie à une atmosphère pesante et angoissante. Écrit durant le 19ème siècle, période marquée par un intérêt croissant pour le spiritisme et le surnaturel, ce roman s'inscrit dans le courant des littératures gothiques de l'époque, tout en ajoutant une touche personnelle à la tradition du récit lumineux et sombre, caractéristique de l'œuvre de l'auteur. Paul Féval, écrivain et dramaturge français, est connu pour sa capacité à tisser les éléments du fantastique dans une trame narrative riche. Influencé par ses travaux sur le folklore et les légendes urbaines, ainsi que par un contexte social en pleine mutation, il développe dans cet ouvrage des motifs récurrents de l'imaginaire collectif de son époque. Son expérience personnelle avec le mystère et le fantastique, couplée à sa passion pour la littérature populaire, lui permet d'aborder des sujets audacieux, créant ainsi un univers captivant et intrigant. Recommandé aux amateurs de littérature française et aux passionnés du genre fantastique, "Une histoire de revenants" est une œuvre essentielle qui invite à la réflexion sur la vie, la mort et les forces invisibles qui nous entourent. Les lecteurs apprécieront la maîtrise stylistique de Féval, ainsi que l'intensité émotionnelle qui émane de ses personnages et de leur lutte contre les forces du mal. Cet ouvrage promet une expérience de lecture immersive qui ne manquera pas de hanter l'esprit longtemps après la dernière page.

Une histoire de revenants

Dans "Roger Bontemps : histoire d'un notaire et d'une tonne de poudre d'or", Paul Féval déploie une intrigue captivante et rocambolesque, mêlant à la fois humour et critique sociale. Le récit, qui s'inscrit dans la veine du roman populaire du XIXe siècle, docu-fiction au ton léger, met en scène Roger Bontemps, un notaire parisien confronté à la folie des grandeurs et à des événements inattendus autour d'une mystérieuse tonne de poudre d'or. Le style de Féval, accessible et vivant, est marqué par des dialogues piquants et des descriptions évocatrices, témoignant d'un sens inné du rythme narratif. Ce texte s'inscrit dans un contexte littéraire où le roman populaire se popularise, offrant distraction et réflexion sur les mœurs de son temps. Paul Féval, écrivain prolifique du XIXe siècle, a su capter les enjeux sociopolitiques de son époque à travers ses œuvres. Originaire de Rennes, il a été influencé par ses années de cessation d'études, ses voyages et ses rencontres avec d'autres écrivains de son temps, notamment Alexandre Dumas. Féval a également été un adepte du fantastique et du roman d'aventure, ce qui a nourri son inspiration pour créer des intrigues enrichies d'éléments théâtraux et populaires qui tiennent en haleine les lecteurs. "Roger Bontemps" est recommandé à toute personne en quête d'un divertissement intelligent et d'une insolente fresque sociale. L'œuvre de Féval s'adresse aussi bien aux amateurs de littérature populaire qu'aux lecteurs désireux de découvrir une période littéraire riche et variée, où l'humour et la critique se mêlent brillamment. La lecture de ce roman permet non seulement de s'amuser, mais également de réfléchir sur notre rapport à l'argent et aux ambitions humaines.

Roger Bontemps : histoire d'un notaire et d'une tonne de poudre d'or

Il y a Lagardère bien sûr, héros mythique comme d’Artagnan ; il y a le personnage du Bossu dont la bosse servait de pupitre aux spéculateurs de la Régence ; il y a la devise : « Si tu ne vas pas à Lagardère, Lagardère ira à toi » ; il y a les deux spadassins Cocardasse et Passepoil... On ne sait ce qui fit le plus pour la popularité du roman qui ne s’est jamais démentie depuis sa parution en feuilleton dans Le Siècle en 1857. Est-il besoin de présenter l’histoire du chevalier de Lagardère qui, pour venir en aide à la malheureuse Aurore de Nevers, privée de son père, de son nom et de sa fortune, affronte les ennemis les plus cyniques et les plus corrompus ? En faisant surgir, dans le Paris de la Régence (1715-1722), possédé par la fièvre financière du système de Law, l’inoffensif bossu qui prête son dos aux spéculateurs et aux agioteurs de tout poil, Paul Féval (1817-1887) a donné à la littérature française une de ses figures les plus populaires, avec Jean Valjean, d’Artagnan et Cyrano. Intrigues, duels, guets-apens, coups de théâtre, sur la toile de fond d’un Paris aux ruelles sordides, menaçantes, et d’une Cour étincelante et dépravée : rien ne manque dans ce « roman de cape et d’épée », jusqu’au moment où la terrible « botte de Nevers » punira le crime et fera triompher la justice...

Dans "Veillées de la famille", Paul Féval nous plonge dans un univers où le récit populaire et la tradition orale occupent une place prépondérante. Ce recueil, profondément ancré dans le folklore et les légendes, propose une série d'histoires où le merveilleux se mêle au quotidien. Le style de Féval se caractérise par une langue accessible, riche en dialogues vivants et en descriptions pittoresques, permettant ainsi aux lecteurs de se sentir immergés dans le monde rural et les mœurs de son époque. Ce livre, tantôt humoristique, tantôt dramatique, s'inscrit dans le mouvement littéraire du XIXe siècle, qui valorisait le vieux patrimoine culturel français face à l'industrialisation croissante. Paul Féval, écrivain prolifique et pionnier du roman populaire, a puisé dans ses propres expériences et dans les traditions de son pays natal pour donner vie à ces récits. Son intérêt pour le folklore, les contes et la vie des gens simples, témoigne d'une époque où la littérature était un moyen de renouveler le lien entre les générations. Féval, défenseur des valeurs familiales et du passé, a ainsi voulu transmettre un héritage intemporel à travers ses récits. "Veillées de la famille" est une œuvre qui mérite d'être redécouverte pour sa capacité à capturer l'âme et les aspirations du peuple. Par ses récits émouvants et didactiques, il offre une réflexion sur la famille et l'identité culturelle. Ce livre, à la fois ludique et instructif, saura séduire les amateurs de contes et ceux souhaitant explorer une facette authentique de la littérature française.

Veillées de la famille

Extrait : "Ils étaient arrivés on ne savait trop d'où : deux hommes et une jeune dame. Leurs vêtements et leur apparence de lassitude semblaient annoncer une longue course à pied ; mais le maître du Mouton couronné n'avait point de défiance, et les avait crus sur parole lorsqu'ils lui avaient dit descendre de la voiture de Rennes."

Les Belles-de-nuit

Extrait : "On a beau railler la mansarde, elle continue de faire son devoir, abritant çà et là beauté, vaillance et génie. Je sais des gens qui ne peuvent regarder sans un sourire ému ces petites fenêtres, ouvertes sous les toits. Elles dominent Paris : c'est un symbole et un présage. Il n'y a pas nécessité absolue assurément à ce qu'un grand homme paye dix-huit francs de loyer par mois pendant toute sa vingtième année." À PROPOS DES ÉDITIONS LIGARAN : Les éditions LIGARAN proposent des versions numériques de grands classiques de la littérature ainsi que des livres rares, dans les domaines suivants : ● Fiction : roman, poésie, théâtre, jeunesse, policier, libertin. ● Non fiction : histoire, essais, biographies, pratiques.

Les Habits noirs

Extrait : "Il y avait une fois, au petit pays de Guebwiller, en Alsace, une famille Schwartz qui était bien honnête, et qui fournissait des Alsaciens à l'univers entier. Les Alsaciens sont généralement bien vus dans le monde et la famille Schwartz, soit sur commande, soit d'office, plaçait ses petits avec faveur." À PROPOS DES ÉDITIONS LIGARAN : Les éditions LIGARAN proposent des versions numériques de grands classiques de la littérature ainsi que des livres rares, dans les domaines suivants : ● Fiction : roman, poésie, théâtre, jeunesse, policier, libertin. ● Non fiction : histoire, essais, biographies, pratiques.

Extrait : "Depuis quelques jours je remets sans cesse à vous écrire. J'attendais le dénouement d'une romanesque aventure dont je suis le héros, pour vous la raconter en détail. Le dénouement est venu ; je n'ai pas lieu d'en être très fier : néanmoins je ne m'en plains pas. Il m'est arrivé, comme à tous, et vous le savez mieux que personne, vous dont j'ai fatigué la patiente amitié à force de confidences, il m'est arrivé de subir en amour de cruels désappointements." À PROPOS DES ÉDITIONS LIGARAN : Les éditions LIGARAN proposent des versions numériques de grands classiques de la littérature ainsi que des livres rares, dans les domaines suivants : ● Fiction : roman, poésie, théâtre, jeunesse, policier, libertin. ● Non fiction : histoire, essais, biographies, pratiques.

Douze femmes

Extrait : "Les provinciaux et une très grande quantité de Parisiens regardent le Marais comme un quartier exclusivement ridicule. On s'est tant moqué du Marais ! C'est un pays de portiers, de rentiers, d'employés à la Monnaie ou au Mont-de-Piété, de petits commerçants honnêtes, mais pillards, de marchands de vins admis à la retraite, — en un mot, de toute cette portion du genre humain que notre siècle écrase sous la foudroyante dénomination d'épiciers." À PROPOS DES ÉDITIONS LIGARAN : Les éditions LIGARAN proposent des versions numériques de grands classiques de la littérature ainsi que des livres rares, dans les domaines suivants : • Fiction : roman, poésie, théâtre, jeunesse, policier, libertin. • Non fiction : histoire, essais, biographies, pratiques.

Les Amours de Paris

Extrait : "Un soir de vendredi, vers la fin de septembre, en 1838, à la tombée de la nuit, le garçon du marchand revendeur établi à l'angle de la rue Dupuis et de Vendôme était en train de fermer la boutique lorsqu'un élégant coupé s'arrêta devant la porte." À PROPOS DES ÉDITIONS LIGARAN : Les éditions LIGARAN proposent des versions numériques de grands classiques de la littérature ainsi que des livres rares, dans les domaines suivants : • Fiction : roman, poésie, théâtre, jeunesse, policier, libertin. • Non fiction : histoire, essais, biographies, pratiques.

L'Arme invisible

"Le Bossu" est un roman de cape et d'épée de Paul Féval publié en 1857. "Le Bossu" est considéré comme l'une de ses œuvres les plus marquantes et comme un modèle du genre. Vous connaissez tous l'histoire de Lagardère, par les multiples films qui ont été faits. Pourquoi ne pas lire l'original ?... En faisant surgir, dans le Paris de la Régence (1715-1722), possédé par la fièvre financière du système de Law, l’inoffensif bossu qui prête son dos aux spéculateurs et aux agioteurs de tout poil, Paul Féval a donné à la littérature française une de ses figures les plus populaires, avec Jean Valjean, d’Artagnan et Cyrano. Intrigues, duels, guets-apens, coups de théâtre, sur la toile de fond d’un Paris aux ruelles sordides, menaçantes, et d’une Cour étincelante et dépravée : rien ne manque dans ce « roman de cape et d’épée », jusqu’au moment où la terrible « botte de Nevers » punira le crime et fera triompher la justice…

Publié en 1865, "La Vampire" est un roman de Paul Féval qui raconte une histoire fantastique sur fond historique qui reste assez surprenant. Le lecteur y croisera Bonaparte au moment où il n'est pas encore empereur et où il échappe de justesse à la mort lors de l'attentat à la machine infernale de la rue Saint Nicaise. Il suivra également Georges Cadoudal, le chouan qui vient défier Bonaparte jusqu'à Paris et qui finira tragiquement. Sur cette trame historique bien réelle, Paul Féval, le romancier du célèbre "Le Bossu", brode une sombre histoire de vampire en s'inspirant de la terrible légende du comte Szandor. Tous les ingrédients sont donc réunis pour obtenir une histoire palpitante et terrifiante. Résumé: Février 1804, dans les rues de Paris, la rumeur grandit. Une vampire aurait pris ses quartiers en bord de Seine et serait déjà responsable de la disparition d’une centaine de jeunes gens fortunés. C’est que cette vampire-là semble autant intéressée par l’or que par le sang. Et Paris s’interroge : est-ce là le fait d’une organisation secrète ou d’une véritable goule? Loin de toute cette agitation, René et Angèle s’aiment et s’apprêtent à se marier...

La Vampire

Publié en 1857, "La Reine des épées" est un roman d'amour de l'auteur français Paul Féval. "La Reine des épées" se déroule dans le monde universitaire allemand du XVIIIe siècle. Frédéric, jeune étudiant allemand, pauvre mais courageux, a conquis le poste suprême de Première Épée de l'université de Tubingue. Il aime en secret Chérie, pupille de l'université suite au meurtre de son père par des gardes royaux. À la suite d'un malentendu, le baron de Rosenthal, ennemi des étudiants, se retrouve fiancé à Chérie, qui pourtant partage les sentiments de Frédéric... L'œuvre de Paul Féval, composée de plus de 200 volumes dont de nombreux romans populaires édités en feuilleton, eut un succès considérable de son vivant, égalant celle d’Honoré de Balzac et d’Alexandre Dumas.

La Reine des épées

Extrait : "Les nuages couraient turbulents et sombres. Une bande d'azur pâle restait à l'horizon, sous le vent ; une bande bien étroite, que les grandes nuées voyageuses attaquaient déjà de leur estompe lourde. Ce n'était pas un ciel d'orage, c'était cette cohue de vapeurs qui roule et se mêle sur nos têtes aux méchants jours d'octobre..." À PROPOS DES ÉDITIONS LIGARAN : Les éditions LIGARAN proposent des versions numériques de grands classiques de la littérature ainsi que des livres rares, dans les domaines suivants : • Fiction : roman, poésie, théâtre, jeunesse, policier, libertin. • Non fiction : histoire, essais, biographies, pratiques.

Extrait : "En 1853, on mettait déjà la pioche dans les constructions qui entouraient la prison de la Force, destinée elle-même à disparaître bientôt. Il ne restait, sur l'emplacement actuel de la rue Malher, vers l'endroit où elle débouche dans la rue Saint-Antoine, en face du portail de Saint-Paul, qu'une belle vieille maison, dont le principale entrée était rue Culture-Sainte-Catherine. Cette maison avait beaucoup de noms, y compris le vrai qui était l'hôtel Fitz-Roi." À PROPOS DES ÉDITIONS LIGARAN : Les éditions LIGARAN proposent des versions numériques de grands classiques de la littérature ainsi que des livres rares, dans les domaines suivants : • Fiction : roman, poésie, théâtre, jeunesse, policier, libertin. • Non fiction : histoire, essais, biographies, pratiques.

La Bande Cadet

Extrait : "Autour de Georges et de Clotilde, dans ce vaste salon où la lumière du lustre et celle des lampes s'absorbaient dans les tentures sombres, arrachant ça et là une étincelle à l'or terni des portraits de famille et aux émaux des vieux écussons, un silence profond régnait. Aucun bruit ne venait de cette autre salle où nous vîmes pour la première fois les intimes de la maison Jaffret réunis autour de la corbeille." À PROPOS DES ÉDITIONS LIGARAN : Les éditions LIGARAN proposent des versions numériques de grands classiques de la littérature ainsi que des livres rares, dans les domaines suivants : • Fiction : roman, poésie, théâtre, jeunesse, policier, libertin. • Non fiction : histoire, essais, biographies, pratiques.

Trois jeunes et riches Allemands ont disparu sans laisser de trace. Paris est en émoi après l'evénement de la pêche miraculeuse. La jeune Angèle soupconne son René, père de leur enfant, d'être tombé amoureux d'une autre femme. Une vampire rôderait-elle sur les bords de la Seine?

Les Errants de la nuit, écrit par Paul Féval, est un roman captivant qui plonge le lecteur dans un univers sombre et mystérieux. L'histoire se déroule au XIXe siècle, dans les rues sombres de Paris, où des créatures surnaturelles rôdent la nuit. Le protagoniste, le jeune et intrépide Roland de Montrevel, se retrouve plongé dans une série d'événements étranges et terrifiants. Des meurtres sanglants, des disparitions mystérieuses et des phénomènes surnaturels se multiplient, semant la terreur parmi les habitants de la capitale. Aidé par un groupe de chasseurs de vampires, Roland se lance dans une quête périlleuse pour démasquer les responsables de ces atrocités. Au fil de son enquête, il découvre un monde obscur où les créatures de la nuit se cachent parmi les humains, ourdissant des complots diaboliques. Les Errants de la nuit est un roman qui mêle habilement suspense, action et fantastique. Paul Féval nous plonge dans une atmosphère gothique et envoûtante, où le danger rôde à chaque coin de rue. Les personnages sont complexes et attachants, et l'intrigue nous tient en haleine jusqu'à la dernière page. Ce livre est un véritable chef-d'œuvre du genre, qui ravira les amateurs de romans gothiques et de mystères surnaturels. Les Errants de la nuit est une lecture incontournable pour tous ceux qui aiment se plonger dans des univers sombres et envoûtants, où le surnaturel se mêle à la réalité. Extrait : "Ce sont des paysages magnifiques et variés à l'infini : de grandes forêts, des rivières, des montagnes. Cela s'appelle les Ardennes ; c'est plein de souvenirs. Et nul ne saurait dire pourquoi la poésie s'est retirée de ces admirables campagnes. Est-ce l'odeur des moulins à foulons, ou la fumée noire des cheminées de la fabrique ? Cette charmante rivière, la Meuse, coule tout doucement et sans jamais faire de folies parmi les belles prairies un peu fades. "

Les Errants de la nuit

Le Breton Tanneguy de Tréguern est revenu d'entre les morts il y a vingt ans. Victime de la malédiction qui dit que tout Tréguern doit mourir trois fois, il n'a pas encore recouvré la mémoire de sa vie passée. Alors que Tanneguy est présenté aux personnalités de Paris au Palais-Royal pour assouvir leur curiosité, un avocat Breton nommé Privat prétend avoir suivi l'affaire du revenant depuis le début. Il aurait accumulé des témoignages déroutants sur les Tréguern et serait en possession de preuves capables de faire cesser la malédiction qui pèse sur la famille. Vingt ans après les évènements d' « Une Histoire de Revenants », ce second et dernier tome est aussi noir que fantastique. Rebondissements et intrigues propres aux feuilletons du XIXe : légendes, sorcières et créatures bretonnes cultivent le mystère des Tréguern. Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français et breton né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans « La Revue de Paris », et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort « Les Mystères de Londres », en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée (« Le Bossu »), 1857 mystère urbain, récit breton (« La première aventure de Corentin Quimper », 1876) ou le récit fantastique (« La Vampire », 1865).

L'Homme sans bras

La Fabrique de crimes, écrit par Paul Féval, est un livre captivant qui plonge les lecteurs dans un univers sombre et mystérieux. L'auteur nous entraîne dans une intrigue complexe où se mêlent crimes, secrets et trahisons. L'histoire se déroule dans une petite ville reculée, où une série de meurtres énigmatiques vient semer la terreur parmi les habitants. Le commissaire Dupin, un enquêteur brillant et perspicace, est chargé de résoudre ces crimes qui défient toute logique. Au fil des pages, Féval nous dévoile les dessous d'une fabrique de crimes, où des individus sans scrupules orchestrent des assassinats pour des raisons inavouables. Les personnages, tous plus intrigants les uns que les autres, se croisent et se dévoilent peu à peu, révélant des secrets inattendus. Avec une plume fluide et un sens du suspense maîtrisé, Paul Féval nous tient en haleine jusqu'à la dernière page. Les rebondissements s'enchaînent, les fausses pistes se multiplient, et le lecteur est constamment tenu en éveil, cherchant à résoudre l'énigme avant le commissaire Dupin. La Fabrique de crimes est un véritable page-turner, un roman policier qui saura captiver les amateurs de suspense et de mystère. Paul Féval nous offre ici un récit palpitant, où les crimes se révèlent être bien plus qu'une simple affaire de meurtres. Plongez dans cet univers sombre et laissez-vous emporter par cette intrigue haletante. Extrait : "Voici déjà plusieurs années que les fabricants de crimes ne livrent rien. Depuis que l'on a inventé le naturalisme et le réalisme, le public honnête autant qu'intelligent crève de faim, car, au dire des marchands, la France compte un ou deux millions de consommateurs qui ne veulent plus rien manger, sinon du crime. Or, le théâtre ne donne plus que la gaudriole et l'opérette, abandonnant le mélodrame."

La Fabrique de crimes

Dans "La Louve", Paul Féval nous plonge dans l'univers fascinant du roman historique du XIXe siècle, mêlant aventure, mystère et un soupçon d'ésotérisme. L'œuvre, écrite avec un style narratif vivant et cinématographique, se déroule dans les forêts sombres de Bretagne, où se côtoient légendes et réalité. À travers l'histoire de la Louve, figure emblématique de la mythologie bretonne, Féval explore des thèmes tels que l'amour, la trahison et la quête de l'identité, portant un regard critique sur les mœurs de son temps et élevant le récit au rang de critique sociale voilée. Paul Féval, romancier prolifique du XIXe siècle, s'est démarqué par ses récits mêlant folklore, histoire et fantastique. Élevé dans un contexte marqué par les bouleversements politiques et sociaux de la France post-révolutionnaire, il avait une passion profonde pour les légendes et le patrimoine culturel, ce qui a indéniablement influencé son écriture. "La Louve" témoigne de sa volonté de raviver les croyances folkloriques et de les réinterpréter à la lumière des réalités contemporaines des classes populaires. Je recommande vivement "La Louve" à tout lecteur en quête d'un voyage à travers le temps, enrichi par la profondeur psychologique de ses personnages et l'atmosphère envoûtante de la Bretagne mystique. Cette œuvre emblématique de Féval offre une expérience littéraire marquante, tant par la qualité de son écriture que par la richesse de ses thèmes, propice à la réflexion et à l'évasion.

La Louve

Un Roman Noir avec une intrigue fantastique et criminelle sur fond de légendes bretonnes et de croyances occultes.... "Les morts peuvent bien se montrer, la nuit, au clair de lune, en Bretagne, auprès des pierres druidiques ou dans les ruines, mais ils ne chargent pas, même en Bretagne, de lourdes sacoches sur leurs épaules. Étienne, désormais, voulait savoir."

Dans "Annette Laïs", Paul Féval explore le monde captivant de la romance et du fantastique, s'inscrivant ainsi dans le XIXe siècle, une période riche en machinations littéraires et en innovations narratives. L'œuvre met en lumière les préoccupations sociales de son époque à travers l'histoire d'Annette, une jeune femme confrontée à des défis titanesques. Le style de Féval, à la fois accessible et vivant, évoque des images riches et des émotions sincères, tout en jouant sur des éléments de suspense et de mystère. Ce roman, mêlant aventure et sentiment, permet à l'auteur de critique subtilement les mœurs de son temps, tout en captivant ses lecteurs par une intrigue palpitante. Né en 1816, Paul Féval est une figure emblématique du roman populaire en France. Ses connaissances en histoire et en folklore, ainsi que sa passion pour les récits d'aventure, ont sans doute influencé l'écriture de "Annette Laïs", un roman à la croisée des chemins entre le fantastique et le courant réaliste. Féval a également été acteur de son temps, abordant des thèmes sociaux importants qui résonnent encore aujourd'hui, reflet d'une société en pleine évolution. Je recommande vivement "Annette Laïs" à quiconque cherche une lecture enrichissante et divertissante, révélant les subtilités d'une époque tout en offrant un récit enchanteur et héroïque. Les amateurs de littérature romantique et d'aventures captivantes y trouveront une œuvre qui continue à séduire des générations de lecteurs.

Annette Laïs

En Bretagne on dit que Filhol de Tréguern est mort il y a longtemps, et que son fantôme erre non loin du Trou de la Dette, et que la nuit sa voix s'élève dans l'obscurité. Quand sa sœur Marianne rejoint ce lieu brumeux pour trouver son frère, elle trouve à la place un spectre féminin d'une beauté angélique et aux boucles blondes flottant au clair de lune. Dans ce premier tome d’un roman fantastique de Paul Féval, les légendes bretonnes se mêlent aux croyances de l'esprit. D'une plume minutieuse, Paul Féval décrit la Bretagne profonde, peuplée de mystères et d'étranges créatures. Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français et breton né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans « La Revue de Paris », et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort « Les Mystères de Londres », en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée (« Le Bossu »), 1857 mystère urbain, récit breton (« La première aventure de Corentin Quimper », 1876) ou le récit fantastique (« La Vampire », 1865).

Une Histoire de Revenants

Vincent Carpentier, architecte et maçon, avait construit pour le colonel Bozzo-Corona, ancien chef des Habits Noirs, une cache secrète. Ce qu'il y a à l'intérieur est pour Vincent un mystère dont il ne s'est jamais soucié. Près de six ans se sont écoulés depuis la construction. Nous sommes en 1841, et maintenant que le colonel a la barbe bien blanche, naît dans l'esprit de Vincent un nouvelle obsession. Et si la cache contenait un fabuleux trésor? Malheureusement pour lui, il n'est pas le seul à vouloir le récupérer... Le jeune peintre Reynier découvre qu'il est l'héritier du colonel Bozzo, et il est prêt à assassiner pour parvenir à ses fins... Paru en feuilleton en 1870, «Les Compagnons du Trésor» est le septième tome des «Habits Noirs». Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans «La Revue de Paris», et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort «Les Mystères de Londres», en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée («Le Bossu»), 1857 mystère urbain, récits bretons («La première aventure de Corentin Quimper», 1876) ou le récit fantastique («La Vampire », 1865).

Les Habits Noirs

Les Habits Noirs VII -- Les Compagnons du Trésor

Madeleine Homayras, la tenancière de l'auberge des trois marchands, voit tous les jours venir un certain M. Nicolas. Pourquoi reste-t-il toute la journée assis à cette table, avec son locataire, M. Joseph, qui lui dicte de longs paragraphes? M. Marais, un inspecteur de passage, ne trouve pas la situation alarmante. Du moins, il le pensait.... Jusqu'à l'arrivée d'une jeune fille habillée de noir, désireuse d'entrer dans la chambre de M. Joseph... Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans «La Revue de Paris», et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort «Les Mystères de Londres», en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée («Le Bossu»), 1857 mystère urbain, récits bretons («La première aventure de Corentin Quimper», 1876) ou le récit fantastique («La Vampire », 1865).

Le Dernier Chevalier

«Si tu ne viens pas à Lagardère, Lagardère ira à toi!» Héro mythique, Lagardère ne laissera pas un coupable trainer dans les rues de Paris. C'est pour protéger la pauvre Aurore, maintenant privée de père, qu'il se bat contre des ennemis tous plus corrompus les uns que les autres; et bien heureusement, c'est une fine lame à l'image d'un d'Artagnan! Dans ce conflit qui oppose Gonzague et Lagardère, bon nombre de personnages cultes se succèdent (les deux spadassins Cocardasse et Passepoil, et puis ce curieux bossu qui prête son dos aux spéculateurs de la régence) dans une suite de coups de théâtre et de duels — rien ne manque dans ce roman de cape et d’épée. C'est là un grand classique de la littérature française; plusieurs fois adapté au cinéma, et considéré par beaucoup comme un chef d'œuvre du roman-feuilleton. Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans «La Revue de Paris», et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort «Les Mystères de Londres», en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée («Le Bossu»), 1857 mystère urbain, récits bretons («La première aventure de Corentin Quimper», 1876) ou le récit fantastique («La Vampire », 1865).

«C’était un des premiers jours de novembre, en 1838, un mois après la catastrophe qui termine notre récit, intitulé L’Arme invisible. La mort étrange du juge d’instruction Remy d’Arx, avait jeté un étonnement dans la ville, mais à Paris les étonnements durent peu, et la ville pensait déjà à autre chose.» On dit que le plan de l'arme invisible a quelque chose à voir avec Maman Léo, une dompteuse de fauves, connue sous le nom de Léocadie Samayoux. Ce plan, c'est un travail excellement ficelé de la part du colonel Bozzo-Corona. Dorénavant, la justice ne sévira plus sur les Habits Noirs, le procureur est mort, et les amants sont condamnés. Mais le colonel a pris de l'âge, et les ambitions des autres membres de l'organisation criminelle sont grandes... «Maman Léo» est la suite du «Secret des Habits Noirs», et le cinquième tome du cycle littéraire des «Habits Noirs». Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans «La Revue de Paris», et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort «Les Mystères de Londres», en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée («Le Bossu»), 1857 mystère urbain, récits bretons («La première aventure de Corentin Quimper», 1876) ou le récit fantastique («La Vampire», 1865).

Les Habits Noirs V -- Maman Léo

Dix années se sont écoulées depuis la mort du Colonel Bozzo-Corona. L'organisation criminelle du Paris de 1852 a bien changé, en mal peut-être. Ce sont des malfrats vieillissants, peu originaux, qui sont à la tête de la bande des Habits Noirs. Le jeune Saladin, un avaleur de sabre qui a grandi au cirque, a pour objectif de redorer le blason de cette famille ancienne et redoutable. Sans pitié, il n'hésitera pas à commettre les crimes les plus sordides... «L'Avaleur de Sabres», sixième opus des «Habits Noirs», renouvelle le cycle littéraire avec un personnage des plus charismatiques. Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans «La Revue de Paris», et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort «Les Mystères de Londres», en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée («Le Bossu»), 1857 mystère urbain, récits bretons («La première aventure de Corentin Quimper», 1876) ou le récit fantastique («La Vampire », 1865).

L'Avaleur de Sabres

Une vampire sème la terreur dans les rues de Paris. Une centaine d'individus fortunés sont déjà morts sur les bords de Seine. Pour certains, ce ne sont que des criminels assoiffés d'or. Pour les autres, c'est une véritable goule en quête de chair humaine. Le vieux maître d'armes Jean-Pierre Gâteloup ne se pose plus la question: il arpente les rues sombres de Paris depuis que l'amant de sa fille fréquente une autre femme aux cheveux de jais... Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans «La Revue de Paris», et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort «Les Mystères de Londres», en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée («Le Bossu»), 1857 mystère urbain, récits bretons («La première aventure de Corentin Quimper», 1876) ou le récit fantastique («La Vampire », 1865).

En 1450, Gilles meurt de faim, et son frère, le duc François de Bretagne, le pleure. Mais très vite, Hue de Maurever, l'écuyer du défunt, dénonce un fratricide. Pour sa défense, le duc offre 50 écus nantais, et fera chevalier celui qui tuera ce traître de Maurever. Dès lors, Paul Féval nous plonge dans un univers romanesque, au milieu de la brume du Mont-Saint-Michel et au rythme des marées. Ici, quiconque se lance à la recherche de Maurever connaît les étranges sortilèges de la fée des grèves. Mais il est dit que si on la saisit, elle donne tout ce que l'on demande... Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans «La Revue de Paris», et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort «Les Mystères de Londres», en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée («Le Bossu»), 1857 mystère urbain, récits bretons («La première aventure de Corentin Quimper», 1876) ou le récit fantastique («La Vampire », 1865).

La Fée des Grèves

1832. Dans les rues de Paris, tout le monde s'est déguisé pour Mardi Gras. Les Buridan, les Philippe de Launay, et les Marguerite de Bourgogne se pavanent, fiers de leur déguisement. Mais le plus beau des Buridan est sûrement Roland. Son costume n'est pas parfait, mais une flamme brille dans ses yeux. Il aime une des Marguerite, celle qui aurait pu charmer n'importe qui sans se déguiser. Parce qu'elle est belle, ambitieuse... et surtout seule, prête à protéger ses arrières et à piétiner les cœurs pour parvenir à ses fins. Tant pis pour Roland, l'héritier légitime de la famille Clare... «Cœur d'acier», second volume des «Habits Noirs», raconte l'ascension criminelle d'une femme au cœur de pierre, Marguerite Sadoulas. Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans «La Revue de Paris», et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort «Les Mystères de Londres», en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée («Le Bossu»), 1857 mystère urbain, récits bretons («La première aventure de Corentin Quimper», 1876) ou le récit fantastique («La Vampire », 1865).

Cœur d'acier

En 1825, André Maynotte vit à Caen avec sa femme et leur nourrisson. Ils sont simples, joyeux, honnêtes, et le travail d'armurier d'André rapporte bien. Mais alors que tout allait pour le mieux, une sombre affaire vient briser le bonheur de la famille. M. Bancelle, un riche banquier, s'est fait voler les 400 000 francs qu'il conservait précieusement dans un coffre-fort. Tous les indices pointent vers André: il a travaillé sur le coffre, et le voleur a perdu dans un piège un brassard de fer qui appartient à l'armurier... Paru en feuilleton en 1863, «Les Habits Noirs» est le premier volume d'un cycle littéraire du même nom, et qui relate les histoires de bandits appartenant à l'organisation criminelle secrète qui défrayait la chronique sous la Restauration. Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans «La Revue de Paris», et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort «Les Mystères de Londres», en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée («Le Bossu»), 1857 mystère urbain, récits bretons («La première aventure de Corentin Quimper», 1876) ou le récit fantastique («La Vampire », 1865).

La redoutable bande criminelle des Habits Noirs sévit encore dans Paris. Cette fois, c'est on ne peut plus sérieux: Lecoq, chef de la Sûreté, couvre les malfrats bien décidés à voler la riche et avare Mathurine Goret, ainsi que la famille Champmas. Pour ce faire, l'appât, que l'on surnomme «le faux Louis XVII», doit séduire la fille bâtarde du général de Champmas pour se rapprocher de sa sœur légitime, Suavita, et récupérer son héritage... Troisième volet du feuilleton «Les Habits Noirs», narre la suite de cette organisation de criminels se livrant aux vols et au trafics frauduleux. Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans «La Revue de Paris», et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort «Les Mystères de Londres», en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée («Le Bossu»), 1857 mystère urbain, récits bretons («La première aventure de Corentin Quimper», 1876) ou le récit fantastique («La Vampire », 1865).

La Rue de Jérusalem

En 1838, l'organisation criminelle des Habits Noirs court un grand danger. Un jeune procureur, Remy d'Arx, s'est mis en tête de démanteler la bande de malfrats qui répand la terreur sur Paris. Malgré les compétences et la ténacité du procureur, le colonel Bozzo-Corona, chef des Habits Noirs, a un plan pour se débarrasser de lui: utiliser une arme secrète et infaillible, capable de tuer sans laisser de trace... Le quatrième opus des «Habits Noirs» et sa suite, «Maman Leo», racontent cette lutte entre justice et crime, entre Remy d'Arx et Bozzo-Corona. Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans «La Revue de Paris», et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort «Les Mystères de Londres», en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée («Le Bossu»), 1857 mystère urbain, récits bretons («La première aventure de Corentin Quimper», 1876) ou le récit fantastique («La Vampire », 1865).

L'Arme Invisible

En 1853, malgré la chute de l'organisation criminelle des Habits Noirs, l'influence du défunt colonel Bozzo-Corona ne tarit pas: la bande cadet compte reprendre le flambeau. Il reste encore beaucoup de travail à faire... Le trésor de Bozzo-Corona est toujours caché, et l'héritage des Fitz-Roy est alléchant... Huitième opus des «Habits Noirs», «La Bande Cadet» clôture le cycle littéraire, insensible au passage du temps, et à jamais un chef d'œuvre du roman policier. «Figure-toi que j'ai eu un drôle de rêve hier. Je me voyais dans cent ans d'ici et je disais à quelqu'un dont le père n'est pas encore né, mais qui avait déjà la barbe grise : il y a deux choses immortelles, le bien qui est Dieu, et moi qui suis le Mal.» Paul Féval (1816-1887) est un écrivain français né à Rennes, dans une famille chrétienne. Au collège, alors que la période des troubles révolutionnaires s'installe en 1816, Paul se montre monarchiste. Il est renvoyé, et passe la fin de son collège chez son oncle en campagne, où l'on parle de batailles sanglantes et de conspiration – séjour qui l'influencera profondément dans ses écrits. Il s'oriente vers le droit puis la banque, mais ce n'est pas pour lui. Il préfère amplement le monde de la littérature. Là, on le dirige vers un milieu catholique et royaliste. Il publie son premier texte en 1841 dans «La Revue de Paris», et est peu à peu remarqué pour ses talents. En 1843 sort «Les Mystères de Londres», en roman-feuilleton, et connaît un succès immédiat. Il s'empresse alors de rédiger trois autres parties qu’il continue jusqu'en 1844. Écrivain très engagé politiquement, il décide tout de même de rester parfois neutre. Ainsi, il s'illustre dans tous les genres à succès de l'époque : roman de cape et d’épée («Le Bossu»), 1857 mystère urbain, récits bretons («La première aventure de Corentin Quimper», 1876) ou le récit fantastique («La Vampire», 1865).

Le 30 mars 1577, vers les six heures du soir, la route qui conduisait alors de l’ermitage de Meudon à Paris, en passant par le village de Vaugirard, était suivie par trois groupes de voyageurs qui semblaient n’avoir entre eux aucun lien. Le premier de ces groupes se composait de quatre personnes à cheval ainsi disposées : en tête un vieil écuyer, au milieu deux dames, en queue une suivante. Comme celles dont il conduisait la marche, l’écuyer Cortansio, – un homme de soixante ans d’âge, pour le moins, – était couvert du haut en bas d’une épaisse couche de poussière, preuve que le voyage, s’il touchait à son terme, avait été commencé depuis de nombreux jours.

Cœur D'Amour

Je suis né le 21 mars 1751, au manoir de Pendor, dans la paroisse de Guidel, en Bretagne. Mon père était de bonne maison et ma mère demoiselle. J’étais tout petit quand je les perdis. J’avais quatre ans quand notre joli manoir de Pendor fut vendu. Le bois de grands vieux hêtres qui ombrage la route de Lorient à Quimperlé m’a bien souvent fait peine à regarder, du temps que j’allais à l’école du presbytère ; mes camarades me disaient : — C’était à toi autrefois, Keramour, tous les nids et toutes les noisettes qui sont là dedans. Et moi je répondais, car l’orgueil est de tous les âges : — Nous avions aussi le grand château de Keramour, avec ses quatre étangs et sa forêt, qui a trois lieues de large ; et nous avions bien d’autres choses encore, que je rachèterai quand j’aurai fait fortune. J’ajoute tout de suite que ce beau château de Keramour avait abandonné ma famille depuis bien longtemps. Lors de ma naissance, il appartenait déjà au vieux Merlin, qui n’était pas l’enchanteur de ce nom.

Le Chevalier de Keramour

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Paul Féval

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